MERCREDI 13 JUILLET à MAIZEROY
Centre La Fontenelle, 1 Place de l'Eglise à 20H
"HUIS CLOS" de Jean-Paul SARTRE
avec
Sophie BURGER, Marie-Jo DAL POZZOLO, Jean-Luc L’HÔTE,
et
Michel OLESINSKI
Mise en scène : Anne CLAUSSE-WEINBERG
Pièce en un acte d’une durée de 1h 15 sans entracte
Entrée libre-recette au chapeau
Dimanche 10 juillet à 14H, participation à Fête de la Liberté
à SAINT QUENTIN (02100) Stade en plein air rue Thiers.
avec "KarlMarx@LeRetour.com" d'après le texte de l'historien américain Howard ZINN (Editions Agone)
Une farce philosophique librement adaptée
Avec :
• Jean-Luc L’HÔTE
• Anne CLAUSSE-WEINBERG
• Patrick BERTRAND
Durée du spectacle : 1h 10 Entrée libre
« Karl Marx a obtenu une autorisation spéciale de
l’administration céleste pour revenir sur Terre pendant une heure. « Mais attention, pas
d’agitation ! » L’administration lui a accordé un ange gardien musicien pour le
protéger, dit-elle, mais surtout pour surveiller son discours. Un cafouillage
bureaucratique et voilà Marx à New York.
Marx se raconte tantôt d’une manière joyeuse
et ironique, tantôt emporté par de saines colères face à l’humanité qui se
dégrade. Il évoque sa vie à Londres avec sa femme
Jenny et ses enfants. Il parle de sa complicité avec son ami Engels et des débats
d’idées avec ses compagnons révolutionnaires réfugiés comme lui. Il chante la
Commune de Paris avec son ange gardien et sa compagne.
Un parti pris d’un Marx qui
dévoile sa part d’humanité avec humour comme autant d'antidote à la
résignation. »
MERCREDI 13 JUILLET à MAIZEROY
Centre La Fontenelle, 1 Place de l'Eglise à 20H
"HUIS CLOS" de Jean-Paul SARTRE
avec
Sophie BURGER, Marie-Jo DAL POZZOLO, Jean-Luc L’HÔTE,
et
Michel OLESINSKI
Mise en scène : Anne CLAUSSE-WEINBERG
Pièce en un acte d’une durée de 1h 15 sans entracte
Entrée libre-recette au chapeau
« Trois
personnages se retrouvent en enfer. Garcin, journaliste-publiciste, Inès,
employée des Postes et Estelle, une riche mondaine. Ils ne se connaissent pas,
viennent de milieux très différents, ne partagent ni les mêmes convictions ni
les mêmes goûts. Ils vont se livrer un combat de mots où ils s'interrogent
sur leur damnation et se cachent sous le masque de la "mauvaise foi". En enfer, ils découvrent le poids du
regard accusateur des autres sans possibilité de fuir. Obsédés par les actes
qu’ils ont commis, ils se débattent tout au long de la pièce pour échapper au
poids de ce regard, en vain...
Chacun dʼeux est condamné à être tour à tour le bourreau et la victime des deux autres pour l’éternité. Un huis clos où « l'enfer, c'est les autres ». Mais ce n’est pas si simple. Car si le regard d'autrui est une menace, chacun a besoin de l'autre pour exister, prendre conscience de soi et se réaliser. La violence, l'humour, le désespoir et la révolte traversent cette pièce à la mécanique diabolique et implacable. »
Chacun dʼeux est condamné à être tour à tour le bourreau et la victime des deux autres pour l’éternité. Un huis clos où « l'enfer, c'est les autres ». Mais ce n’est pas si simple. Car si le regard d'autrui est une menace, chacun a besoin de l'autre pour exister, prendre conscience de soi et se réaliser. La violence, l'humour, le désespoir et la révolte traversent cette pièce à la mécanique diabolique et implacable. »