Tant pis !
Cela ne nous empêchera de jouer dans d'autres lieux.
Mardi 15 juillet et mardi 26 août nous serons au Village de Vacances de La Petite Pierre dans les Vosges du Nord.
Nous jouerons notre pièce
"Karl Marx@LeRetour.com" à 21 h
Vendredi 22 août à 19 h nous jouerons
"Le Chemin des Passes Dangereuses" dans le village de Mazeroy près de Pange. Le spectacle a lieu dans le cadre des Estivales du Pays de Nied lors du Festival de la Culture au Jardin.
"Le Chemin des Passes Dangereuses"
de Michel-Marc BOUCHARD
(Éditions Théâtrales)
Avec
Yan EVESQUE (Ambroise) Frédéric FISCHER (Carl) Fabrice ROSACI (Victor)
Mise en scène
Anne CLAUSSE-WEINBERG
Lumières
Pierre CLAUSSE
Durée du spectacle : 1h 20
"Quelques heures avant le mariage du cadet, trois frères se retrouvent isolés à la suite d'un accident de la route alors qu'ils se rendaient au camp de pêche familial. En attendant les secours et contraints à un huis clos imprévisible au tournant du Chemin des Passes Dangereuses, Carl, Ambroise et Victor plongent dans leurs souvenirs d'enfance et leurs mensonges d'adultes, jusqu'à atteindre le secret qui les hante. Cette cérémonie des aveux a lieu alors que rôde autour d'eux la mémoire de leur père, mort au même endroit quinze ans auparavant."
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"Karl Marx@LeRetour.com"
Une farce librement
adaptée et inspirée de la pièce « Karl Marx le retour », écrite par l’historien
américain Howard Zinn et publiée aux éditions Agone.
Avec :
• Jean-Luc L’HÔTE (Karl Marx)
• Anne CLAUSSE-WEINBERG (Jenny et Eleanor
Marx)
• Patrick BERTRAND (l’ange gardien
musicien, Pieper, et quelques autres)
Mise en scène : Anne CLAUSSE-WEINBERG
Lumières :
Pierre CLAUSSE
Durée du spectacle : 1h 10
« Karl Marx a obtenu une
autorisation spéciale de l’administration céleste pour revenir sur Terre pendant
une heure. « Mais attention, pas
d’agitation ! » L’administration lui a accordé un ange gardien musicien pour le
protéger, dit-elle, mais surtout pour surveiller son discours. Un cafouillage
bureaucratique et voilà Marx à New York.
Marx se raconte tantôt d’une
manière joyeuse et ironique, tantôt emporté par de saines colères face à
l’humanité qui se dégrade. Il évoque sa vie à
Londres avec sa femme Jenny et ses enfants. Il parle de sa complicité avec son
ami Engels et des débats d’idées avec ses compagnons révolutionnaires
contemporains réfugiés comme lui. Il chante la Commune de Paris avec son ange
gardien.
Un parti pris
d’un Marx qui dévoile sa part d’humanité avec humour comme autant d'antidote à
la résignation. »
